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La culture libre

Monday 11 June 2012 à 13:29
La culture libre est partout. Et elle se répand de plus en plus, tel une pieuvre. Elle est très présente sur Internet, et a tendance même à rentrer dans le monde réel. C'est un phénomène récent qui fait de plus en plus d'adepte.
Mais d'où vient-elle ? Son origine se confond avec celui des logiciels libres. Dans les années 1970-1980, Richard Stallman, jeune développeur américain, excédé que le code source de son imprimante ne soit pas ouvert pour qu'il puisse corriger un bug (il me semble que c'était un problème de bourrage de papier), lance ce concept :
0. la liberté d'exécuter le programme, pour tous les usages,
1. la liberté d'étudier le fonctionnement du programme et de l'adapter à ses besoins,
2. la liberté de redistribuer des copies du programme (ce qui implique la possibilité aussi bien de donner que de vendre des copies),
3. la liberté d'améliorer le programme et de distribuer ces améliorations au public, pour en faire profiter toute la communauté.
Ce concept s'est étendu avec Linux, le fameux noyau (note : Linus Trosvald, le créateur, n'était pas dans l'optique du logiciel libre, mais plus du coté technique de distribution, de facilité de modifications). On peut dire que Tux, symbole du noyau Linux, lui même symbole de cette culture, est devenu rapidement l'icône, le mythe de cette culture.
Très rapidement, ce concept de partage va au delà du logiciel. On peut facilement la résumer par une phrase de Stallman (et oui, encore) : interdire la coopération entre les gens est insupportable, parce que l'aide au voisin est la base de la société : interdire le partage, c'est attaquer la société à sa base.. La base de cette culture est donc le service. Vous allez me dire, tout travail mérite salaire. Je vous réponds que le salaire n'est pas d'ordre financier, mais plus d'ordre morale : la satisfaction d'un travail bien fait, être utile aux autres, le dépassement de soi, le prestige (pour certains)… La culture est donc basée sur le partage et le service.
Mais comment cela fonctionne ? C'est simple. Vous faites une œuvre, et vous la partagez directement, sans passer par tout le système de majors et compagnies. Par contre, il vous faudra choisir une licence, mais heureusement, les licences Créatives commons sont là, même s'ils en existent une infinité, tant qu'ils respectent les 4 règles du concept.
On le voit surtout pour les logiciels, mais cette culture s’étant-elle aussi sur le domaine artistique ? Oui, doublement oui ! Par exemple, dans le domaine sonore, littéraire (il existe une grande bibliothèque, musical… Je vous laisse chercher.
Victor Hugo disait
Le livre, comme livre, appartient à l'auteur, mais comme pensée, il appartient -le mot n'est pas trop vaste- au genre humain. Toutes les intelligences y ont droit. Si l'un des deux droits, le droit de l'écrivain et le droit de l'esprit humain, devait être sacrifié, ce serait, certes, le droit de l'écrivain, car l'intérêt public est notre préoccupation unique, et tous, je le déclare, doivent passer avant nous
. Une question nous brûle les lèvres : la culture libre va-t-elle remplacer le fonctionnement culturel actuelle ?
Qwerty

La respiration

Saturday 2 June 2012 à 12:03
Ça faisait un petit bout de temps que je n'avais pas écris un article scientifique. Dans cet article, nous allons parler de la respiration.
Mais en faites, qu'est donc ce phénomène, presque quasi-universel ?
La respiration est une oxydation complète du glucose, mais aussi d'autres acides gras ou d'autres molécules organiques, pour fournir de l'énergie.

Voici la formule pour synthétiser :
Glucose + Dioxygène → Dioxyde de carbone et eau
C6H12O6 + 6O2 → 6CO2 + 6H2O + Énergie (~36 ATP)

Cette réaction a lieu dans la mitochondrie des cellules d'êtres pluricellulaires (plusieurs cellules) et les les êtres unicellulaires eucaryotes (cellule avec noyau) pratiquant la respiration.
Une autre manière de se fournir en énergie, moins efficace, est la fermentation. Contrairement à la respiration, une oxydation incomplète a lieu. Ce procédé est réservé aux organismes peu développés.
Qwerty

Anticipation

Friday 25 May 2012 à 17:05
D'après Michel Serres, "philosopher, c'est anticiper". "Mais le contraire est aussi vrai", dirait le logicien de Rhinocéros, une pièce du théâtre de l'absurde écrite par Ionesco et dont je parlerai dans un autre article parce que ce n'est pas le sujet de celui-ci. Si je cite Serres, c'est en effet pour donner la réciproque à son affirmation. En exemples.

Le roman d'anticipation, ancêtre de la Science-Fiction, est apparu au début du XXe siècle et a pour ambition de décrire une société future dans toute sa splendeur. Seulement aujourd'hui, on pourrait dire qu'on y est pas encore, au totalitarisme qu'Orwell prédisait pour 1984 dans son roman du même nom sorti en 1949. Mais est-ce vrai? Notre société est de plus en plus surveillée. La vie privée n'existe plus. Cependant, Orwell décrivait quelque chose de plus contemporain. En effet, durant toute sa vie et à travers tous ses ouvrages majeurs (en plus de 1984, on peut citer La Ferme des Animaux) il a combattu le communisme en général et le système bolchevik en particulier. Par exemple, dans 1984, Big Brother a les grosses moustaches de Staline et les gens s'appellent camarades entre eux, entre autres marques flagrantes. H. G. Wells, quant à lui, vante cette idéologie en la mettant au cœur de son roman La machine à voyager dans le temps, dans lequel les hommes du futur sont communistes, végétariens et pacifiques. Ce roman est très intéressant d'ailleurs, car il ne voit pas le futur comme une immense ville surdéveloppée surtechnologisée, mais au contraire un retour à la nature, qui est aussi un développement considérable dans le mode de vie de l'Homme. Quand les gens de nos jours auront compris que nous sommes faits pour vivre dans un environnement vert, pas gris (certains ont déjà acquis cette compréhension) la vie sur Terre sera bien meilleure.

Sous le couvert de prédire l'avenir, les auteurs de Science-Fiction dénoncent des problèmes actuels. Ainsi Le meilleur des mondes d'Aldous Huxley critique la perte de valeurs morales et le fait que le sexe et la drogue soient banalisées, et que les Hommes soient éduqués depuis la naissance à ne pas penser par eux-mêmes et à cultiver la pratique de choses futiles telles que le sport et la compétition plutôt que la lecture et le savoir. Ce livre explique comment parvenir à réduire à l'esclavage des gens sans qu'ils s'y opposent. Et pour cela ils faut qu'ils aiment et désirent cet esclavage. Dans Fahrenheit 451, Ray Bradbury dénonce quant à lui le progrès accélérant trop vite pour que l'homme puisse le suivre, et la déshumanisation apportée par l'excès de divertissement, lui aussi dans le but d'empêcher les gens de penser par eux-mêmes. Ici aussi la lecture de livres est interdite, c'est même le thème principal du livre, qui suit un pompier chargé de brûler les livres.
Les Chroniques Martiennes, quant à elles, sont une prouesse de psychologie. En effet, elles décrivent la vie d'extraterrestres, des Martiens. Cependant, cela nécessite quelque chose d'impossible: imaginer une manière de penser complètement différente de la notre. Et il y parvient. Comment? En ajoutant des détails laissant une impression d'étrange et de malaise à des situations de la vie humaine, il parvient à apporter une distance entre le lecteur et le personnage. Cette distance permet d'avoir un regard critique sur leur comportement, et ainsi, sur le notre. Car par un détour psychologique, Bradbury dépeint en fait d'un œil dur la société qui nous entoure, et d'une manière qui ne peut être atteinte qu'à travers la Science-Fiction. Quand les astronautes arrivent sur Mars et qu'ils ont l'impression d'être sur Terre et de revoir leurs morts à cause de l'illusion créée par les martiens à l'aide des souvenirs vus par télépathie dans leur esprit avant leur atterrissage ("La Troisième Expédition"), quand le psychiatre pense que l'humain serait un martien devenu fou et qui projetterait l'image qu'il penserait être de lui toujours à l'aide de ce lien télépathique ("Les Hommes de la Terre"), quand la martienne fait le rêve prémonitoire de l'arrivée des humains, qu'elle rêve d'une idylle avec l'un d'eux et que son mari, jaloux, part à la chasse le jour où l'atterrissage est prévu ("Ylla"), la liberté de point de vue que ce nouvel univers confère permet d'étudier chaque situation habituelle sous un angle inhabituel sans que cela paraisse anormal, vu que c'est le point de vue d'un Alien. C'est la réciproque de la thèse précédente.
Cette liberté se joue aussi au niveau de l'écriture. Dans la guerre des mondes, H. G. Wells parle de quelque chose qu'il ne connaît pas (les extraterrestres). Il n'en a jamais vu. Ainsi, lorsqu'il sort de son tripode, l'extraterrestre est décrit sans être décrit, par des termes trop vagues, trop abstraits, laissant la liberté au lecteur de l'imaginer comme il le souhaite.

D'autres romans de Science-Fiction plus récents mêlent l'humour à la critique sociale: l'extraterrestre de Sans nouvelles de Gurb, d'Eduardo Amendola, arrive sur Terre et se moque des hommes d'affaires pressés, toujours avec leur mallette à la main, de véritables caricatures humaines, de la publicité mensongère, du conformisme quand il dit qu'il passerait pour excentrique si il se mettait à marcher sur la tête. Dans Le guide du voya-geur galactique de Douglas Adams, le Président du Conseil Galactique n'est pas la con-centration des pouvoirs, mais la personne faite pour attirer les regards loin de ceux qui les détiennent réellement. Une critique de la technologie est aussi faite avec à la fin du livre la construction d'un super calculateur sensé calculer la réponse à la vie, à l'univers et à… tout le reste, et seulement capable d'apporter comme réponse "42" et "il faudrait construire un super calculateur pour calculer la question maintenant" au bout de 500 millions d'années.

La Science-Fiction ou roman d'anticipation est toujours lié à la philosophie d'une manière ou d'une autre. Le message a une portée sociale double: au niveau de l'individu qui ne réagit pas aux exactions du gouvernement pour le rendre peu réactif. Il y a toujours un lien avec la technologie et le développement scientifique, vantés chez Jules Verne, critiqué par les autres. La technologie réduit en effet l'imagination et la capacité de réflexion et peut facilement être contrôlée et diffuser des messages de propagande.

Livres cités, titres originaux:
1984, George Orwell 1949
Animal Farm (La ferme des animaux), George Orwell 1943
The Time Machine (La machine à voyager dans le temps), H. G. Wells 1895
Brave New World (Le meilleur des mondes), Aldous Huxley 1931
Fahrenheit 451, Ray Bradbury 1953
The Martian Chronicles (Les chroniques martiennes) Ray Bradbury, 1950
War of The Worlds (La guerre des mondes) H. G. Wells, 1898
Sin Noticias de Gurb (Sans nouvelles de Gurb) Eduardo Amendola, 1990
Hitch Hiker's Guide to the Galaxy (Le Guide du voyageur galactique) Douglas Adams, 1979

Pour ceux qui n'aiment pas lire et qui ne feront pas l'effort de chercher les livres cités ci-dessus, outre les adaptations cinématographiques de ces ouvrages, quelques films sont à voir absolument: Brazil de Terry Gilliam, et puisque vous y êtes, profitez-en pour regarder L'Armée des 12 Singes. On peut dire que ces films sont inspirés respectivement de 1984 et de La machine à voyager dans le temps, avec quelques nuances et toujours une portée psychologique forte. Un autre film beaucoup plus récent est Gattaca, lui vraisemblablement inspiré [Du] Meilleur des Mondes, encore une fois avec des différences visibles ce-pendant. Enfin, un qui risque de ne pas vous plaire mais qui vous apportera une grande culture générale et cinématographique: Métropolis. Forcez-vous à le voir, ça en vaut la peine!

Correct-er

La décadence de l'empire à la pomme

Saturday 19 May 2012 à 11:22
C'est peut être le temps qui change, les mentalités. Mais je trouve que, de plus en plus, les entreprises nous prennent pour des idiots, voire pire, des produits.
Je vais prendre l'exemple d'Apple, pour ce qu'elle était avant, et ce qu'elle est devenue. J'aurais pu prendre n'importe quelle autre marque, mais on peut dire qu'Apple est un cas d'école.

Je ne sais pas si vous en souvenez, car je vais parler d'un temps que les moins de 35 ans ne peuvent pas connaître (remarque, je ne l'ai donc pas connu non plus).
A cette époque, Apple lançait l'Apple II. Et à l'époque, il fournissait les plans des circuits électroniques. Bien sûr, ce fut le début de l'entreprise, qui avait plutôt une image de bidouilleurs qui lançait leurs propres produits.
Mais cet âge d'or ne dura pas longtemps.
Pouvez vous maintenant ouvrir votre propre iPhone pour le réparer ? Non, tout d'abord parce qu'ils utilisent des vis non standard, et ensuite ça ferait sauter votre garantie. De même, installer un autre système d'exploitation est une opération impossible. Si on ne peux plus modifier un objet, alors il n'est plus à vous. Et en plus, comme vous ne pouvez pas le désosser, vous ne pouvez pas voir comment ça marche. Pas top niveau auto-apprentissage.
De plus, via leur système d'applications, limité à leur éco-système, force à utiliser tous leurs produits. Il faut un iMac pour faire des applications iPhone, certains logiciels sont interdits d'installation (comme VLC sur leurs iPad et iPhone). Vous n'avez donc plus le choix d'utiliser ce que vous voulez. Vous êtes enfermé dans une prison dorée.
Je vais être court sur un autre point du problème, qui est l'espionnage. On a retrouvé, il y a quelques temps déjà, des coordonnées GPS envoyées à la société-mère.
Maintenant que j'ai bien démontré d'un point de vu technologie qu'Apple n'était pas un bon samaritain, nous allons voir le coté humaniste du problème.
Apple fait assembler ses produits en Chine. Comme de nombreuses multinationales. Mais ce qui est révoltant, vu les marges que se fait Apple, est qu'ils pourraient garantir de meilleures conditions de travail tout en conservant leur extrême compétitivité ainsi que leur rentabilité. L'usine Apple est à Shenzhen, ancien village au bord de la rivière et qui est devenu une cité de treize millions d'habitants. Selon ce document, l'entreprise Foxconn emploierait des enfants de 13 ans, travaillant pendant quatorze à seize heures par jour dans des conditions durs (généralement debout). Ils sont surveillés par caméra pour qu'ils "gardent la cadence". Les syndicats sont interdits en Chine. Ils utilisent L'Hexane, un produit neurotoxique. Tout ça pour moins d'un dollar par heure (source). C'est une forme d'esclavage.

Un produit Apple sort tous les 6 mois et ne font pas de réel changement. Or, les personnes se jettent dessus, jetant l'ancien modèle qui marchait très bien. Et comme le recyclage de ces appareils qui contiennent des produits nocifs et des métaux lourds rares n'est pas assez bien promu, les consommateurs ne se préoccupent pas de cela et ils finissent soit dans une déchèterie, soit en Afrique, où le produit est désossé et enterré, causant une pollution du sol. Je vous conseille de voir l'émission prêt à jeter d'ARTE.

En conclusion, nous pouvons dire qu'il faut un changement de mentalité sur plusieurs points : Ils faut que l'utilisateur aie un contrôle total sur son produit, qu'il soit considéré comme un individu digne, et que de bonnes conditions de travail soient données aux ouvriers, et enfin qu'on se dirige vers des produits qui respectent l'environnement par leur durée de vie et par leur composition.
Qwerty

Vers une nouvelle économie ?

Sunday 13 May 2012 à 12:57
On le voit tous les jours. Les politiciens, les sociologues, les philosophes, les journaux nous harcèlent. Notre système économique se casse la gueule. Mais alors, puisque le capitalisme nous a montré ses limites, quelle est la nouvelle solution ? Les brevets ne servent plus qu'a nous casser les pieds. (cf ACTA)
Votre solution, vous l'avez là, sous vos yeux. Et vous êtes même des contributeurs. Et tout le monde peut l'être. Oui, je parle bien de l'Open source, des logiciels libres et toutes ces choses génialissimes ! On a une idée, on la partage, et l'intelligence collective l'améliore, la modifie, en fait une autre idée !
Car comme le dit si bien Victor Hugo, Le livre, comme livre, appartient à l’auteur, mais comme pensée, il appartient - le mot n’est pas trop vaste - au genre humain. Toutes les intelligences y ont droit. Si l’un des deux droits, le droit de l’écrivain et le droit de l’esprit humain, devait être sacrifié, ce serait, certes, le droit de l’écrivain, car l’intérêt public est notre préoccupation unique, et tous, je le déclare, doivent passer avant nous.
Ce qui s'applique au livre s'applique aux idées.
La notion de brevet est obsolète.
Prenons l'exemple des logiciels libres. Tout le monde partage. Le même système peut être aussi appliqué pour les produits culturels.
Mais l'économie, n'est-ce pas aussi l'industrie ? l'agriculture ? Je suis peux être un peu utopique, ou peu même beaucoup, mais voici comment je vois le futur : A la fois global et local.
Un jour une personne A a une idée géniale. Il en parle à B. Qui en parle à C. L'idée fait le tour du monde. Le produit devient global. Maintenant, imaginons que chacun fabrique son produit dans sa région. C'est local. Mais où est donc l'intérêt ?
D'abord, ça fait vivre l'emploi local. Ensuite, les coûts de transport baissent de manière drastique. Et chaque produit sera "personnalisé", "influencé" par la culture locale. Prenons l'exemple d'un couteau : il sera un Opinel en Savoie, mais un MCUSTA au Japon. La forme sera différente, mais les deux seront des couteaux de poche.
Plusieurs projets existent : Arduino, l'impression 3D, les fab labs, et même des fab labs au niveau de l'individu.
Pour l'agriculture, autrefois, ils existait des bourses aux plantes, c'est à dire des échanges de graines permettant en quelque sorte un partage du produit, et des petits agriculteurs se mettaient en commun pour partager leur matériel et leur terrain. Alors imaginez avec Open source ecology, la puissance que ça aurait.
Bref, l'économie du futur ne sera plus basée sur la rareté, mais sur l'échange et l'ingéniosité des idées. Une sorte d'intelligence collective remplace l'individualisme économique.
Mais ça reste une idée.
Qwerty
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